Sur WDN News Center apparaît cette information complètement incroyable, concernant une loi qui permettrait à la police britannique de poursuivre les parents qui refuseraient d’appeler leur enfant transgenre par leur nouveau prénom alternatif, ou de financer leur « changement de sexe ».
Jonathan Turley, de l’Université George Washington aux Etats-Unis, a en effet rédigé un article expliquant ce que le gouvernement britannique exigerait des parents, dès lors que leurs enfants décideraient de devenir transgenres.
Il affirme notamment que « les parents qui refusent d’utiliser les prénoms alternatifs pour leurs enfants ou qui refusent de payer pour leur transition pourraient faire l’objet de poursuites pénales ».
Les « traitements » de transition incluraient donc, selon la loi, la prise de produits chimiques (dont les hormones) pour stériliser un enfant à vie, et même les mutilations corporelles que représentent les opérations chirurgicales liées au changement de sexe.
« Selon le code britannique du Crown Prosecution Service (CPS), les comportements abusifs incluent désormais le fait de “retenir de l’argent pour la transition [et] de refuser d’utiliser le nom ou le pronom qu’ils préfèrent”.

Donc, un parent ayant des valeurs morales liées à la famille et/ou des convictions religieuses (chrétiennes ou juives messianiques) à la transition d’un enfant, serait tenu par la loi de financer les traitements et les opérations liées au changement d’identité de l’enfant.
En somme, des parents qui s’opposeraient au changement de genre de son enfant se rendrait coupable de maltraitance, en refusant d’affirmer l’idéologie transgenre LGBTQ+ adoptée par sa progéniture.
Selon la Fondation Daily Caller News, aux Etats-Unis également, « les tribunaux californiens auraient toute autorité, en vertu de l’article 3011 du code de la famille californien, pour retirer un enfant du foyer de ses parents si ces derniers désapprouvent l’idéologie LGBTQ+ ».
Les gauchistes pro-LGBTQ+ qui répandent cette idéologie anti-Torah en Californie ont simplement choisi de modifier la définition de ce qui constitue « la santé, la sécurité et le bien-être d’un enfant ».
« En substance, un garçon pourrait dénoncer ses parents au club Gay-Straight Alliance de son école locale ou à une autre organisation LGBTQ+, qui pourrait alors dénoncer les parents du garçon pour maltraitance d’enfant ».