Aux Etats-Unis d’Amérique, chaque Etat peut désormais autoriser ou interdire l’avortement des bébés dans le ventre de leur mère.
En effet, depuis 24 juin 2022, la haute cour, profondément remaniée par Donald Trump, a annulé son arrêt Roe v. Wade qui garantissait depuis 1973 le droit des citoyennes américaines à avorter, et a ainsi rendu à chacun sa liberté de légiférer sur le sujet.
Une maman s’est ainsi récemment vu refuser au Texas, qui est un Etat conservateur du sud des Etats-Unis, la possibilité de subir une IVG, bien que son fœtus ait été diagnostiqué porteur d’une anencéphalie qui est une malformation du crâne et du cerveau et qui le condamnait.
« C’était horrible, car je voulais que ma fille repose en paix le plus vite possible et nous avons dû attendre jusqu’à sa naissance », témoigne auprès de l’Agence France-Presse (AFP) Samantha Casiano, âgée de 29 ans.

« Ma fille souffrait d’anencéphalie et allait donc forcément mourir rapidement, avant ou après la naissance. » dit-elle.
Son compagnon (ils ne sont visiblement pas marié, ce qui signifie qu’il y a eût fornication), Luis Villasana, 25 ans, a expliqué qu’ils auraient pu choisir de partir illégalement dans un autre État, mais qu’ils n’en avaient pas les moyens financiers, et qu’ils auraient alors risqué une peine de prison.
Samantha Casiano, cette maman, fait partie des 12 femmes qui ont décidé d’attaquer le Texas en justice, réclamant une clarification des « exceptions médicales » aux lois interdisant l’avortement
Amanda Zurawski, la première à raconter au tribunal son histoire, a expliqué s’être aussi vu refuser un avortement alors que son fœtus était condamné.

« Alors que j’avais besoin d’un avortement d’urgence quand j’étais enceinte de ma fille Willow, j’ai été obligée de rentrer chez moi et d’attendre », a-t-elle déclaré à la presse.
Amanda Zurawski n’avait pu obtenir cette procédure que trois jours plus tard, après avoir fait une septicémie.
Je pense que nous devons faire preuve d’humilité, accepter que nous ne pouvons pas tout contrôler, notamment les maladies, et que les plans et les pensées de DIEU sont aussi élevés au-dessus des notre que les cieux les sont au-dessus de la terre.
DIEU YAHUVEH donne la vie, et DIEU YAHUVEH reprend la vie, il ne nous appartient pas pour autant de décider de tuer un bébé avant que son heure ne soit arrivée selon la volonté divine, nous devons simplement prier pour la santé et le salut de ces petits bébés et de leurs parents.