La Bible nous enseigne que dans la fin des temps, il sera impossible d’acheter ou de vendre sans accepter la « Marque de la Bête », ce qui semble indiquer une disparition progressive de l’argent en espèces.

Il existe bien en effet à priori une volonté politique des mondialistes de faire disparaître les pièces et les billets, en allant vers un modèle dangereux du tout numérique, ce qui faciliterait la société de contrôle total voulue par les tenanciers de Davos.

Or dans de nombreuses succursales en Australie, la Commonwealth Bank a décidé de bannir les retraits et les dépôts en espèces; ces agences de CommBank sont donc devenues « sans numéraire ».

Plus tôt cette année, ANZ (Australia and New Zealand Banking Group) a déclaré avoir également supprimé l’argent liquide de ses succursales.

Les transactions en espèces au guichet sont ainsi indisponibles dans un certain nombre de succursales, y compris la Commonwealth Bank Place qui se situe dans le centre de Sydney; même situation à Brisbane et Melbourne.

Les dépôts et les retraits peuvent seulement être effectués via des guichets automatiques, comme c’est déjà le cas dans de nombreuses banques en France si je ne dis pas d’erreur.

Cette prédominance de la banque numérique fait craindre que la société ne soit devenue trop dépendante de systèmes potentiellement vulnérables, en raison des risques de bugs et autres cyber-attaques.

En effet, les clients de la banque australienne Commonwealth ont par exemple été paralysés après la panne de l’application de la banque au début du mois, les empêchant d’accéder à leurs soldes comptes, de transférer des fonds par internet ou d’utiliser leurs cartes de crédit pour effectuer des achats.

La panne a alors engendré un déluge d’appels en colère et de nombreuses publications sur les réseaux sociaux, de la part de clients inquiets, qui voulaient savoir pourquoi ils ne pouvaient pas utiliser les services de la banque, et notamment certains guichets automatiques.

Il faut prendre conscience que le tout numérique permet un plus grand contrôle de la société par les banques et les gouvernements, puisque chaque fois que vous payez quelque chose numériquement, cela laisse une empreinte, qui peut être surveillée par les banques, et les gouvernements.

Et dans un même temps, cette évolution ouvre des possibilités exponentielles pour la cybercriminalité, si bien que beaucoup cessent de vendre de la drogue pour se spécialiser dans les fraudes en ligne.

A noter qu’en cas de panne d’électricité, l’argent liquide permet d’effectuer des achats sans aucun problème, ce qui n’est pas le cas avec le numérique.

Article précédentSébastien Chenu et Gabriel Attal: le communautarisme LGBTQ+ en action en France
Article suivant« Eurogames » à Berne: malgré les nombreux messages (réseaux sociaux), la ville envahie de drapeaux LGBTQ+

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici